oeil

À écouter jusqu'au bout, le cri monte en puissance au fur et à mesure et se rapproche d'un hurlement humain.

Pour un cri d'un Daman des rochers ressemblant (un peu) à un enfant qui crie et rie à la fois, cliquez ici.

Anecdote rigolote : les Damans des rochers seraient apparentés aux éléphants !

Plus d'infos :

• https://en.wikipedia.org/wiki/Southern_tree_hyrax
• https://en.wikipedia.org/wiki/Rock_hyrax

Histoire de faire de ce festival de surconsommation quelque chose d'utile...

Ferd'nand (Oct 3, 1955)

Salut les jlailutines et les jlailutins,

je cherche à me familiariser avec le latin. Je suis une grande débutante et je voudrais commencer à étudier un peu seule pour voir si ça me plaît.

Y aurait-il des latinistes dans le coin, qui pourraient me conseiller des méthodes ou des ressources, autres que le Gaffiot ;) ? De préférence papier.

En ligne, j'ai trouvé ce MOOC de sillages.info. Il y aussi une méthode Assimil accessible à distance via la Bibliothèque publique d'information.

Mais j'apprends et j'assimile beaucoup mieux avec des méthodes et ressources imprimées.

MàJ : écriture inclusive.

Huang Yongyu
BLACK SWINE
ink on paper, hanging scroll
signed HUANG YONGYU, dated jia xu, 1994, the twelfth lunar month, inscribed, with a dedication to Shen Weichuang, and five seals of the artist

Raccoons appeared in France in several ways. In eastern France, they were introduced in 1966, according to Fabien Egal. They were the mascots of the GIs at a NATO base in the department of Aisne. The Americans left at the end of the 1960s, but the raccoons stayed.
But in Gironde, the story is different: they escaped from a zoo or circus 20 years ago. There were four or five of them at the time. Now there are 4,000 to 5,000, according to Christophe Coïc, director of the Cistude Nature association, which has studied this species.

Pour plus d'infos sur l'arrondi solidaire : https://www.franceinfo.fr/economie/trois-questions-sur-l-arrondi-solidaire-en-magasin-qui-permet-de-faire-un-microdon-a-une-association_6905255.html

J’aime l’araignée et j’aime l’ortie,
Parce qu’on les hait ;
Et que rien n’exauce et que tout châtie
Leur morne souhait ;

Parce qu’elles sont maudites, chétives,
Noirs êtres rampants ;
Parce qu’elles sont les tristes captives
De leur guet-apens ;

Parce qu’elles sont prises dans leur œuvre ;
Ô sort ! fatals nœuds !
Parce que l’ortie est une couleuvre,
L’araignée un gueux ;

Parce qu’elles ont l’ombre des abîmes,
Parce qu’on les fuit,
Parce qu’elles sont toutes deux victimes
De la sombre nuit.

Passants, faites grâce à la plante obscure,
Au pauvre animal.
Plaignez la laideur, plaignez la piqûre,
Oh ! plaignez le mal !

Il n’est rien qui n’ait sa mélancolie ;
Tout veut un baiser.
Dans leur fauve horreur, pour peu qu’on oublie
De les écraser,

Pour peu qu’on leur jette un œil moins superbe,
Tout bas, loin du jour,
La vilaine bête et la mauvaise herbe
Murmurent : Amour !

Juillet 1842.

Dessin : Vianden à travers une toile d'araignée
Victor Hugo (1802-1885), dessinateur.
Plume, encres brune et violette et lavis, crayon de graphite, aquarelle, grattages, sur un feuillet d'album
Paris, Maison de Victor Hugo, MVHP D 0083