Aucune raison d’accepter qu’on soit tous condamnés à la médiocrité

Elle me fait tiquer cette phrase. En tant que médiocre qui a dû commencer à bosser jeune, j'aurais beau y passer encore 22 ans, je ne rattraperais pas le gros kickstart qui est d'avoir une mère rentière, un père vice-président de conglomérat, ou encore un oncle qui m'offre une place sur son réseau pour mon stage. Piker est loin de s'être fait tout seul, et si c'est ça que tu pose comme la réussite, c'est plus que la classe ouvrière que tu jette sous le bus de la médiocrité...
J'ai pu mal comprendre, réaction émotionnelle à une formule que je trouve sale pour qualifier mes semblables, tout ça, donc n'hésite pas à m'éclairer si c'est le cas.