Selon une nouvelle loi promulguée par la junte militaire, les « auteurs de pratiques homosexuelles » encourent deux à cinq ans de prison, ainsi que des amendes.

Tout est dans le titre. Perso, je vois aucun interet à continuer l'aventure sur lemmy.

Et j'aimerai que cette commu bénéficie des améliorations apporté par PieFed :

• les Flairs
• les hashtags qui marchent sur mastodon
• les basvotes restreint aux abonnées de cette commu
• wiki

J'ai pas encore décidé sur quelle instance vu que la question n'avance pas des masses. Et je pense le proposer pour toute les commu où je suis modo.

Coté app ça changera rien, vous aurez toujours accès à la nouvelle commu qu'elle soit sur piefed ou non.

Coté user piefed, vous aurez accès au flair avec floutage des mauvaises nouvelles et wiki.

Voilà le fond de ma pensée et l'orientation que je souhaite donner. J'ai contacté les admins de tarte et feddit.fr pour voir si c'est possible d'imaginer une instance gérée collectivement.

Nous verrons si ça débouche sur quelque chose. Sinon, ba j'attendrai...mais je commence à trouver cela long.

Rishikesh est une ville de montagne perchée dans la haute vallée du Gange, dans l’État de l’Uttarakhand, à environ 5 heures de Delhi par la route. Ville sainte de l’Hindouisme – son nom en sanscrit signifie « Maître des sens, » une référence au dieu Vishnou – Rishikesh est connue pour ses nombreux temples, ashrams et centres de méditation répartis sur les deux rives d’un Gange si impétueux qu’on peut le descendre gaiement en rafting ou même à la nage, sans risque majeur de pollution.

Présenté au Festival Allers-Retours, Frankenfish by the River marque les débuts prometteurs de la réalisatrice Chen Yusha. Porté par un trio de jeunes comédiens, ce premier long-métrage suit les retrouvailles estivales de Jia Jia avec ses amis d’enfance dans une ville chinoise en pleine mutation.

Entre mélancolie, élan romantique et touches d’animation, le film dresse le portrait d’une jeunesse en quête de repères, ballottée entre désirs personnels et pressions sociales. Une œuvre sensible et personnelle qui témoigne des incertitudes d’une génération en transition. Pour Asialyst, la réalisatrice revient sur la genèse du projet et nous offre ses réflexions sur la jeunesse chinoise.

« Pour le bien de tous, priorité aux pauvres » : telle était la devise qui avait porté au pouvoir, en 2018, le leader de la gauche mexicaine, Andrés Manuel Lopez Obrador (Amlo). Simple promesse de campagne ? Sept ans plus tard, les chiffres, confirmés par l’ONU, l’OCDE et la Banque mondiale, sont sans appel : l’Institut national des statistiques estime que le nombre de Mexicains en situation de pauvreté est passé de 51,9 millions en 2018 (41,9 % de la population) à 38,5 millions en 2024 (29,5 % de la population), soit une diminution de 13,4 millions.